Tels les frères Bogdanov, mais avec de plus jolies combinaisons, Pascal et moi avons ramené Velvet à Lanzarote dans la joie et la bonne humeur. Nos chéries étant retenues à la maison, les consignes de l’une comme de l’autre (diététique, rangement du linge, etc…) ont été scrupuleusement respectées tous les jours, au moins jusqu'à midi.
Avant de quitter Las Palmas, une première banane avait été pochoirisée (voir ici). Djef, please, c’est quoi la bonne distance pour tenir l’aérosol ?
Puis on a quitté la place de port avec un bon vent de travers et le propulseur d’étrave encombré par les coquillages, donc inexistant. Grosse chaleur, du coup, mais on n’a pas touché les bateaux voisins donc l’honneur est sauf. Ensuite, traversée superbe avec vent de babord force 5. Ca gitait et ça roulait un peu, on était autour de 7 nœuds et personne ne nous a doublés. En fait, y’avait personne sur l’eau pour admirer notre décontraction, alors on s'est filmé (voir là). Le mouillage à Graciosa, but de la première étape avant de finir la route sur Arecife, a été conforme à sa réputation : tout en couleurs et en sérénité.
Ici à Marina Lanzarote, les hélices du propulseur sont nettoyées et la lessive est faite. Tiens, puisque c'est comme ça, je vais réparer la chasse d'eau.
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